Oh René, suis trÚs heureuse que tu mettes un article sur Jean Ferrat que j'aimais beaucoup. J'adorais ses chansons, ses textes si poignants Nous sommes allés plusieurs fois sur sa tombe (la premiÚre fois, à Antraigues, nous avons eu du mal à la trouver !). Et oui, nous n'habitons pas loin de ce village qu'il aimait tant .. Quel grand
C'est toujours la premiĂšre fois Enfin enfin je te retrouve Toi qui nâavais jamais Ă©tĂ© Quâabsente comme jeune louve Ou lâeau dormante au fond des douves SâĂ©chappant au soleil dâĂ©tĂ©Tu peux mâouvrir cent fois les bras Câest toujours la premiĂšre foisAbsente comme souveraine Quâon voit entre deux haies passer O toi si proche et si lointaine DĂšs que lâamour file sa laine Entre nos doigts dĂ©saccordĂ©sTu peux mâouvrir cent fois les bras Câest toujours la premiĂšre foisLa faim de toi qui me dĂ©vore Me fait plier genoux et bras Je nâaurais pas assez dâamphore Ni de mots encore et encore Pour y mettre son terme basTu peux mâouvrir cent fois les bras Câest toujours la premiĂšre foisLa soif de toi par quoi je tremble Ma lĂšvre Ă jamais dessĂ©chĂ©e Mon amour quâest-ce quâil tâen semble Est-ce de vivre ou non ensemble Qui pourra mâen dĂ©saltĂ©rerTu peux mâouvrir cent fois les bras Câest toujours la premiĂšre foisLâamour de toi par quoi jâexiste Nâa pas dâautre rĂ©alitĂ© Je ne suis quâun nom de ta liste Un pas que le vent sur la piste Efface avant dâavoir Ă©tĂ©Tu peux mâouvrir cent fois les bras Câest toujours la premiĂšre fois Last edited by Salve a Selva on Sat, 11/12/2021 - 1445 Italian translationItalian Ă sempre la prima volta In fine in fine ti ritrovo Tu che non eri mai stata Che assente come giovane lupa O l'acqua che dorme sul fondo della fossa Fuggendo dal sole d'estatePuoi aprirmi cento volte le braccia Ă sempre la prima voltaAssente come sovrana Che si vede passare tra due siepi O tu cosĂŹ vicina e cosĂŹ lontana Non appena l'amore fila la sua lana Tra le nostre dita scordatePuoi aprirmi cento volte le braccia Ă sempre la prima voltaLa fame di te che mi divora Mi fa piegare ginocchia e braccia Non avrĂČ abbastanza anfore NĂ© parole ancora ed ancora Per porre fine a questoPuoi aprirmi cento volte le braccia Ă sempre la prima voltaLa sete di te da cui tremo Il mio labbro per sempre inaridito Amore mio, che te ne pare SarĂ vivere insieme o no Che me ne potrĂ dissetarePuoi aprirmi cento volte le braccia Ă sempre la prima voltaL'amore di te da cui esisto Non ha altra realtĂ Sono solo un nome della tua lista Un passo che il vento sulla pista Cancella prima che sia statoPuoi aprirmi cento volte le braccia Ă sempre la prima volta Submitted by psq on Wed, 08/12/2021 - 1923 The author of translation requested means that he/she will be happy to receive corrections, suggestions etc about the you are proficient in both languages of the language pair, you are welcome to leave your comments.
Cest toujours la premiÚre fois. Absente comme souveraine. Qu'on voit entre deux haies passer. O toi si proche et si lointaine. DÚs que l'amour file sa laine. Entre nos doigts désaccordés. Tu peux m'ouvrir cent fois les bras. C'est toujours la premiÚre fois. La faim de toi qui me dévore.
Longbox 3 CD COLLECTOR EpuisĂ© chez l'Editeur.53 chansons. Livret 32 pages avec texte de prĂ©sentation de Jean FERRAT par Jean-Paul SERMONTE et nombreuses photos. I - CD 1 1 - Deux enfants au soleil 1964 2' 33 2 - Ma mĂŽme 1964 1' 55 3 - J'entends, j'entends 1964 3' 04 4 - La fĂȘte aux copains 1964 2' 24 5 - Federico Garcia Lorca 1964 3' 10 6 - Les nomades 1964 2' 49 7 - Les noctambules 1964 2' 11 8 - L'homme Ă l'oreille coupĂ©e 1964 3' 09 9 - Nuit et brouillard 1963 3' 12 10 - A Brassens 1963 2' 24 11 - C'est beau la vie 1963 2' 42 12 - Quatre cents enfants noirs 1963 2' 51 13 - Nous dormirons ensemble 1963 2' 19 14 - La montagne 1964 3' 03 15 - Que serais-je sans toi 1964 3' 04 16 - Berceuse 1964 3' 19 17 - Au bout de mon Ăąge 1964 2' 16 II - CD 2 1 - Potemkine 1965 2' 51 2 - C'est si peu dire que je t'aime 1965 2' 50 3 - Les belles Ă©trangĂšres 1965 2' 45 4 - Je ne chante pas pour passer le temps 1965 2' 34 5 - C'est toujours la premiĂšre fois 1965 2' 54 6 - Le sabre et le goupillon 1965 2' 42 8 - Heureux celui qui meurt d'aimer 1966 2' 58 9 - En groupe en ligue en procession 1966 2' 51 10 - Un jour un jour 1966 4' 56 11 - Pauvre Boris 1966 3' 25 12 - Cuba si 1967 2' 49 13 - A Santiago 1967 2' 43 14 - Les guerilleros 1967 2' 55 15 - Pauvres petits c... 1967 3' 07 16 - La matinĂ©e 1969 2' 53 17 - L'idole Ă Papa 1969 3' 19 18 - Les poĂštes 1969 4' 06 19 - Ma France 1969 3' 41 20 - Un jour futur 1969 2' 00 III - CD 3 1 - Camarade 1969 2' 35 2 - SacrĂ© FĂ©licien 1969 2' 28 3 - Y aurait-il 1969 2' 44 4 - Les lilas 1969 2' 48 5 - La Commune 1971 2' 35 6 - Les derniers tziganes 1971 2' 54 7 - Les touristes partis 1971 2' 17 8 - Aimer Ă perdre la raison 1971 2' 35 9 - Et pour l'exemple 1971 2' 49 10 - A moi l'Afrique 1972 4' 32 11 - Picasso colombe 1972 2' 56 12 - Une femme honnĂȘte 1972 3' 05 13 - Si j'Ă©tais peintre ou maçon 1972 2' 25 14 - Les saisons 1972 3' 42 15 - Paris an 2000 1972 2' 52 16 - Hou hou mĂ©fions-nous... 1972 3' 31 RĂ©fĂ©rence 557 918-2 En stock 1 Article Fiche technique Type de produit LONGBOX 3 CD COLLECTOR Parution 9 novembre 1998 16 autres produits dans la mĂȘme catĂ©gorie JEAN FERRAT / MA FRANCE CD COLLECTOR EpuisĂ© chez l'Editeur.Compilation de 24 chansons enregistrĂ©es par Jean FERRAT... JEAN FERRAT / CD STORY CD-LIVRE COLLECTOR EpuisĂ© chez l'Editeur.Livret de 40 pages richement illustrĂ© de photos rares... Neuf
ï»żAvecles paroles de Guy Thomas, parolier qui est mort rĂ©cemment (le 19 janvier 2020), Jean Ferrat rĂ©affirmait (malgrĂ© la chanson prĂ©cĂ©dente) sa
Jean Ferrat Discography Browser previous next C'est Toujours La Premiere Fois Album Information Release Date January 17, 2000 Duration 023706 Genre Pop/Rock International Vocal Styles Cabaret French French Folk French Pop Western European Traditions Submit Corrections
Tupeux m'ouvrir cent fois les bras C'est toujours la premiÚre fois Absente comme souveraine Qu'on voit entre deux haies passer O toi si proche et si lointaine DÚs que l'amour file sa laine Entre nos doigts désaccordés Tu peux m'ouvrir cent fois les bras C'est toujours la premiÚre fois La faim de toi qui me dévore Me fait plier genoux et bras
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Surles flots je t'imagine. Potemkine. M'en voudrez-vous beaucoup si je vous dis un monde. OĂč celui qui a faim va ĂȘtre fusillĂ©. Le crime se prĂ©pare et la mer est profonde. Que face aux
Votre sĂ©jour en Croatie est unique ; notre expertise lâest aussi! Pour mieux prĂ©parer vos vacances, consultez le guide voyage Croatie et tĂ©lĂ©chargez les Ebooks gratuits conseils pratiques, idĂ©es de visites et bonnes adresses. Il a suffi quâil meure pour que les mĂ©dias qui lâignoraient depuis longtemps, le ressuscitent. La disparition de Jean Ferrat, samedi 13 mars, est Ă la une des antennes et des journaux qui ne cessent de lui tresser les couronnes dâusage avant de bientĂŽt lâoublier. Or, les chansons de Jean Ferrat ne sont pas de celles quâon oublie. Chaque fois quâon les Ă©coute câest toujours la premiĂšre fois » un texte, une mĂ©lodie, une voix et une interprĂ©tation inimitables en font un moment dâenchantement. Intimement associĂ©es aux instants particuliers dâune vie, elles ont le don de les faire revivre comme la madeleine de Proust trempĂ©e dans la tasse de thĂ©. Faut-il pleurer ? Faut-il en rire ? » Ainsi reste-t-on attachĂ© Ă la chanson du film de RenĂ© Allio, La vieille dame indigne » 1965 elle figurait sur le disque 33 tours quâon a reçu en cadeau dâune classe de seconde, la premiĂšre annĂ©e oĂč lâon enseignait, en 1966. On avait Ă©tudiĂ© la nouvelle de Brecht, La vieille dame indigne » elle raconte le scandale suscitĂ© par cette mĂšre qui, aprĂšs la mort de son mari, perd la tĂȘte au point de sâouvrir Ă la vie comme jamais elle nâavait pu le faire jusquâici, en compagnie dâune jeune serveuse de bar. Faut-il pleurer, faut-il en rire ? » demandait Jean Ferrat devant ces femmes dont toute la vie se rĂ©sume / En millions de pas dĂ©risoires / Prise comme marteau et enclume / Entre une table et une armoire » ? Je nâai pas le cĆur Ă le dire / On ne voit pas le temps passer, » se contentait-il de rĂ©pondre. Ferrat Ă©tait venu dans lâannĂ©e chanter au cinĂ©ma les VariĂ©tĂ©s », Ă Angers, avec Anne Sylvestre en premiĂšre partie. Je ne chante pas pour passer le temps » Câest Ă la mĂȘme Ă©poque quâon avait rencontrĂ© par hasard LĂ©o FerrĂ© aprĂšs un rĂ©cital et quâon avait parlĂ© avec lui toute une nuit. On se souvient quâil maugrĂ©ait contre Ferrat, non pour leur quasi homonymie mais contre la chanson que Ferrat venait dâĂ©crire Je ne chante pas pour passer le temps ». LĂ©o FerrĂ© lâavait prise comme une gifle, car il venait, lui, de publier Je chante pour passer le temps / Petit qui me reste de vivre / Comme on dessine sur le givre / Comme on se fait le cĆur content / Ă lancer cailloux sur Ă©tang / Je chante pour passer le temps. » CâĂ©tait un poĂšme dâAragon. FerrĂ© comme Ferrat puisaient ensemble dans Le roman inachevĂ© » du poĂšte et câĂ©tait Ă qui allait habiller ses vers ciselĂ©s des plus ravissantes mĂ©lodies. Qui serait assez insensĂ© pour les dĂ©partager ? Les Ćuvres de lâesprit nâont pas de prix, on finit par lâoublier avec tous ces concours Ă la noix, palme, cĂ©sar et oscar imbĂ©ciles qui ne servent que dâargument dâautoritĂ© pour les vendre Ă de plus imbĂ©ciles encore. FĂ©derico Garcia Lorca » et Un jour, un jour » Câest aussi une chanson de Ferrat quâon a aux lĂšvres quand, pour la premiĂšre fois, au dĂ©tour dâun virage en venant de Guadix, apparaissent bruns et massifs les remparts de lâAlhambra et de lâAlcazaba de Grenade sur fond de sommets enneigĂ©s de la Sierra Nevada et ciel dâazur. Cela faisait une bonne dizaine dâannĂ©es quâon entendait les guitares jouer leur sĂ©rĂ©nades / Dont les voix se brisent au matin. / Non jamais, je nâatteindrai Grenade / Bien que jâen sache le chemin. » Cet hymne Ă Federico Garcia Lorca assassinĂ© par la Guardia Civil de Franco nâa cessĂ© dâaccompagner les promenades quâon a faites, deux ans aprĂšs la mort de Franco, dans les jardins du Generalife et de lâAlhambra, ou dans le lacis de ruelles de lâAlbaicin, le quartier de maison blanches en face de la forteresse quâon contemplait de la terrasse de Saint Nicolas. On se prenait Ă y mĂȘler une autre chanson Un jour, un jour » qui Ă©voque aussi Grenade et Lorca qui sâest tu / Emplissant tout Ă coup lâunivers de silence / Contre les violents tourne la violence / Dieu le fracas que fait un poĂšte quâon tue, » sâĂ©crie Ferrat, avant de promettre dans son refrain quâ un jour pourtant, un jour viendra couleur dâorange / Un jour de palme, de feuillages au front / Un jour dâĂ©paules nues / OĂč les gens sâaimeront. / Un jour comme un oiseau sur la plus haute branche. » Nuit et brouillard » On partageait alors cet optimisme la sauvagerie humaine, du moins le croyait-on, nâĂ©tait pas inĂ©luctable pourvu quâon sĂ»t en percevoir les racines pour les extirper. Nuit et brouillard » rappelait sur un rythme saccadĂ© de train sautant de rails en rails le gĂ©nocide nazi dont Ferrat vivait dans sa chair les sĂ©quelles puisque son pĂšre en est mort alors quâil Ă©tait encore enfant. LâĂ©poque paraissait vouloir lâoublier un vent de frivolitĂ© soufflait alors sur une certaine chanson française les YĂ©yĂ©s rĂ©gnaient et les ondes baignaient dans un pastiche de sous-culture amĂ©ricaine. Ferrat Ă©tait prĂȘt, disait-il, Ă twister les mots sâil fallait les twister / Pour quâun jour les enfants sachent qui Ă©taient ceux que les Nazis avaient assassinĂ©s ». Potemkine » Potemkine », du nom du cuirassĂ© dont les marins se rĂ©voltent en 1905 pour ĂȘtre contraints de manger de la nourriture avariĂ©e quand les officiers se gobergent, cĂ©lĂšbre sans doute sur des roulements de tambours guerriers le rĂȘve dâune sociĂ©tĂ© alternative. Mais on ne pouvait sâempĂȘcher en lâĂ©coutant de penser aussi Ă dâautres marins, ceux de Cronstadt qui, en mars 1921, se sont dressĂ©s contre le nouveau pouvoir soviĂ©tique les bolcheviques ont Ă©crasĂ© leur rĂ©volte dans le sang. Une rĂ©volution prĂ©sentĂ©e comme une nouvelle aube de lâhumanitĂ© pouvait donc dĂšs son commencement laisser craindre le pire par ses mĂ©thodes. Jâentends, jâentends » Jean Ferrat nâĂ©tait pas naĂŻf. Il met trĂšs tĂŽt en musique le poĂšme dâAragon Jâentends, jâentends ». Câest un cri de dĂ©sespoir devant lâindiffĂ©rence de ceux Ă qui ses mots sâadressent. Il se sent si semblable Ă eux pourtant, leur enfer », dit-il, est le sien. Mais tous ces hommes et femmes, pierres tendres tĂŽt usĂ©es » qui voudraient au ciel bleu croire / Comme lâalouette au miroir », nâentendent rien Tout se perd et rien ne vous touche, se plaint-il. Ni mes paroles ni mes mains / Et vous passez votre chemin / Sans savoir ce que dit ma bouche » Avoir Ă©tĂ© peut-ĂȘtre utile devient un rĂȘve modeste et fou / Il aurait mieux valu le taire, finit-il par convenir. / Vous me mettrez avec en terre / Comme une Ă©toile au fond dâun trou. » Jean Ferrat ne se fait pas trop dâillusion il a les yeux ouverts non seulement sur la violence des hommes mais sur lâindiffĂ©rence quâon peut rencontrer y compris chez ceux qui la subissent, quand on veut la combattre. Ma mĂŽme » et Que serais-je sans toi ? » Que reste-t-il alors pour tenir et survivre ? Lâamour quâun homme et une femme peuvent se porter lâun Ă lâautre et qui les soulĂšve au-dessus dâeux-mĂȘmes. Ils y puisent la force de leur rĂ©sistance. Ferrat nâa cessĂ© de solliciter les poĂštes connus ou inconnus qui lâentourent pour mettre leurs chants dâamour en musique. MĂȘme dans la grisaille dâune vie ouvriĂšre de banlieue, chante-t-il dans Ma mĂŽme », il peut y avoir du soleil qui sâattarde » quand deux amants, retirĂ©s dans leur mansarde Ă Saint-Ouen, se disent toutes le choses qui leur viennent / Câest beau comme du Verlaine / On dirait », avant de faire lâamour en secret ». Mais câest encore Ă Aragon quâil emprunte les plus beaux poĂšmes pour les revĂȘtir de mĂ©lodies aussi somptueuses quâon ne se lasse pas dâentendre Câest si peu dire que je tâaime », Câest toujours la premiĂšre fois », Aimer Ă perdre la raison / Ă ne savoir que dire / Ă nâavoir que toi dâhorizon ». Il faut avouer quâAragon est une mine de poĂȘmes dâamour. FerrĂ© a pris Elsa » Ă qui il suffit de paraĂźtre en rattachant ses cheveux » pour quâĂ ce geste touchant son amant renaisse et reconnaisse un monde habitĂ© par le chant ». Ferrat, lui, sâest emparĂ© de Que serais-je sans toi qui vins Ă ma rencontre ? » Une femme peut-elle entendre dâun amant paroles dâamour plus sublimes ? Lâunion de deux ĂȘtres reste, envers et contre tout et tous, la seule promesse du bonheur accessible Ailleurs que dans les rĂȘves / Ailleurs que dans les nues ». Qui nâa pas entendu Ă la vue de lâĂȘtre aimĂ© quâil retrouve aprĂšs une absence, crier en soi comme une vigie aprĂšs des jours dâerrance sur le dĂ©sert des mers Terre, terre, voici / Ces rades inconnues. » ? Câest fou, on ne sâen Ă©tait pas rendu compte Ă ce point, comme les chansons de Jean Ferrat ont pu non seulement accompagner toute une vie, mais en ont imprĂ©gnĂ© des instants prĂ©cieux sans le savoir. Il faut quâil disparaisse pour sâen apercevoir. Paul Villach Ă propos Articles rĂ©cents
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