Lavie est une vallée de larmes ! Tags : vie · C'est indiscernable, la vie est une fête et c'est aussi un désastre. Tantôt tout va bien, tantôt rien ne va plus !!!! Tout va de travers et c'est
Je suis rentrée dans la salle enfumée de méchante humeur et la bousculade pour se frayer jusqu’au comptoir n’a rien arrangé. Il faisait moite, les gens collaient leur sueur sur mes avant bras que j’avais mis en mode protection devant moi. C’était rien que de la viande soule et gueulante, avachie dans une décadence préfabriquée, presque estudiantine. Et ça gueulait des voix erraillées qui ressemblaient à rien, et ça tenait à peine debout contre le comptoir dégueulasse. Et la lumière n’éclairait qu’à moitié, les visages bouffis ou décrépi. Et tout le monde trouvait ça tellement cool. Il aurait pas fallu grand chose pour me rendre vraiment méchante, mais j’ai toujours su faire les choses qu’à moitié. Mon petit ventricule de méchanceté était à moitié plein, ou à moitié vide, en tout cas trop peu ou pas assez pour se vider correctement, pour cracher ou lever l’ancre. Il faudrait que je boive quelques verres avant de pouvoir l’essorer. Ça fait deux heures que je patiente au comptoir. La fille qui sert ne se presse pas et n’a pas l’air commode, ce qui n’a rien pour déplaire aux concierges décadentes qui fréquentent l’endroit en ayant la certitude d’avoir découvert la fontaine de jouvance. Et en plus, c’est en Provence… J’obtiens enfin une pression et un whisky. J’aime pas ça, mais c’est toujours ça de pris. Evidemment, je finis par croiser du monde au comptoir, comme si c’était obligatoire. Alors je me compose une tête des mauvais jour, ça va tellement bien dans le décor, tout le monde adore ça. – Eh Brigitte, tu t’en colles une ce soir ? La tentation de lui répondre que c’est à lui que j’en colle une est forte, mais finalement ça n’aurait pas trop de sens, et je crois que ça me soulagerai même pas. – Vouais. – Alors la suivante est pour moi. Ça marche comme ça. Trois quarts d’heure plus tard je suis ivre. Je m’extirpe de la faune avariée qui se répand sur le sol, les tables, le comptoir. Dans une heure, ils montent aux murs. L’air de la ville est gras et épais. Des fois je crois encore un peu qu’il rend libre, mais de moins en moins souvent. En fait, de plus en plus souvent, je ne pense pas grand chose, je n’y pense même pas. Sur la route de nulle part, je tombe sur des connaissances qui vont dans une fête. Peut-être que c’est là que j’arriverai à remplir mon ventricule de méchanceté. Alors j’y vais. Je bois, je bois, je bois. Et je finis en larme sans avoir eu le temps de me répandre. Il est temps pour les premiers bus, j’ai oublié mes premiers verres bus. Je rentre chez moi. Je pense à l’ancien aquarium avec sa vase verte dégueulasse et son odeur de pourri, ses poissons inexpressifs qui tournent en rond sans colère, sans couleur et sans dent. Je pense ensuite à Icare ce qui m’amène aux dédale de l’imagination de Raymond. Il me laisse abasourdie avec son envie d’en recoudre sur les embrouilles de la vie. Même avec un père mercier et une mère mercière, ça fait pas tout. Je pense ensuite à Pierre, portraitiste, même si ça n’existe plus comme métier. Quel ringard. Et je pense à Valentin, à Valentin Brû qui n’habite pas en Bretagne. Je pense comme ça, pendant des heures, je pense aux mois de l’année, je pense à l’heure qu’il fait et tout ça et tout ça. Et je m’endors. Je me rêve Hey ! en Andorre. Je fais des choses fantastiques avec Gaby et ses grands yeux bleus. Là je me dis qu’il faut que je change de disque. Salut Jacques ! Et la famille ?LaTerre N'est Pas Une Vallée De Larmes. pas cher : retrouvez tous les produits disponibles à l'achat dans notre catégorie Livre ancien En utilisant Rakuten, vous acceptez l'utilisation des cookies permettant de vous proposer des contenus personnalisés et de réaliser des statistiques. Jean D’Ormesson, écrivain du bonheur », Yeux pétillants,sourire malicieux, il restera je suis sûre,pour nous, qui sommes décidés à être heureux, une source d’inspiration… Il est un modèle, et je ne voudrais pas le paraphraser. Quelle que soit la vie, la vie est belle! Oui la vie est une vallée de larmes mais elle est aussi une vallée de roses… Il a tout dit, bien sûr que la vie est cruelle, bien sûr que c’est cruel de perdre un proche, d’être malade, mais reconnaissons-le , il y a des moments épatants » dans une vie… Alors, vive les moments épatants… Mais surtout, vivons les moments épatants!! Et ce n’est pas parce que les roses ont des épines qu’on ne peut pas les admirer et savourer leur parfum…. Qu’en pensez vous? Si vous aimez cette citation, si elle vous inspire, n’oubliez pas de la partager! En visitant ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies afin d'améliorer votre expérience. AccepterRefuserParamétrer Aubord des larmes, la Première ministre se défend. Sanna Marin a fait valoir mercredi ses aspirations à la «joie» et à la «vie» après une controverse sur des vidéos la montrant dansant Adopté le 8 décembre 1955 par le Comité des ministres du Conseil de l'Europe, le drapeau européen est devenu, à partir du 1er janvier 1986, le symbole de toutes les institutions européennes, dont les Communautés européennes, puis de la Communauté européenne, à laquelle a succédé l'Union européenne. Nous sommes une de ces étoiles. Ne l’oubliez jamais parce que tant et tant ont perdu la vie pour cela. MacronNantes — Emmanuel Macron EmmanuelMacron 19 avril 2017 Déjà que Macron ne reconnait l'existence ni de la culture française ni de l'art français, il montre là son ignorance et son mépris de l'Histoire de France en qualifiant la France de "vallée de larmes". En outre, depuis 1986 ou 1955, aucun soldat français n'a jamais perdu la vie pour l'Union européenne, aucun d'entre eux n'a été déclaré "Mort pour l'Union européenne". Seule la mention "Mort pour la France" existe ! Et allez demander à un soldat français de mourir pour l'Union européenne….Emmanuel Macron aurait tout intérêt à s'intéresser à l'Histoire de France et lire le discours prononcé par Lamartine le 25 février 1848 où il refusait de voir le drapeau rouge devenir le symbole de la France "Citoyens, vous pouvez faire violence au gouvernement, vous pouvez lui commander de changer le drapeau de la nation et le nom de la France. Si vous êtes assez mal inspirés et assez obstinés dans votre erreur pour lui imposer une République de parti et un pavillon de terreur, le gouvernement, je le sais, est aussi décidé que moi-même à mourir plutôt que de se déshonorer en vous obéissant. Quant à moi, jamais ma main ne signera ce décret. Je repousserai jusqu'à la mort ce drapeau de sang, et vous devez le répudier plus que moi, car le drapeau rouge que vous rapportez n’a jamais fait que le tour du Champ-de-Mars, traîné dans le sang du peuple en 91 et en 93, et le drapeau tricolore a fait le tour du monde, avec le nom, la gloire et la liberté de la patrie" Et le drapeau de l'Union européenne a-t-il fait autre chose que le tour des commissaires européens et des lobbyistes de Bruxelles ? Lavallée des larmes est les second long métrage de fiction produit, scénarisé et réalisée par la cinéaste québécoise d’origine Libanaise Maryanne Zéhil, à qui l’on doit De ma fenêtre sans maison, réalisé en 2006.. Le film, purement fictionnel, a pour prémisses les massacres survenus en 1982 sur des réfugiés palestiniens dans les camps de Sabra et Chatila, au Liban.